La Une

vendredi 27 mars 2015

Le Magésium



En général, si vous êtes anxieux, que vous avez des insomnies fréquentes et les cheveux cassants, il y a grande chance que vous souffrez d'une carence en minéraux sans le savoir ! 



          Principaux symptômes constatés :



  • Coups de pompe, impression de fatigue inexpliquée.
  • Difficulté à trouver le sommeil, réveil la nuit.
  • Anxiété sans raison.
  • Intestins paresseux, et troubles du transit intestinal.
  • Crampes en dehors de tout effort physique.
  • Paupière qui "sautille". 
  • Cicatrisation difficile.
  • Palpitations ou gorge nouée.
  • Cheveux sont cassants, Ongles striés.
  • Consommation d'alcool est assez élevée.
Un manque de magnésium peut très bien expliqué tout ou une partie de ses symptômes. 


En cas de déficit, des troubles peuvent apparaître au niveau du système nerveux (anxiété, tremblement), musculaire (faiblesse musculaire, rythme cardiaque irrégulier), digestif (diarrhées ou constipation). Le magnésium joue un rôle dans la plupart des fonctions de l'organisme. 


On trouve le magnésium dans certains aliments couramment consommés :







  • Les oléagineux : noix, noisettes, arachides, amandes ;
  • Le chocolat
  • Les légumineuses : lentilles, pois chiches, haricots blancs, flageolets ;
  • Les légumes ;
  • Les céréales complètes ;
  • les fruits secs.

Les besoins en magnésium sont plus importants durant les périodes de croissance, lors d'une grossesse et chez les sportifs. D'autres situations pathologiques peuvent provoquer un déficit en magnésium : diarrhée, alcoolisme, traitement par des diurétiques ou diabète.

Dans certains cas, il peut être nécessaire de rechercher un meilleur apport en vitamines et magnésium par un complément alimentaire. 

Nos conseils : 
Le Totum. Boite de 30 sachets regroupant chacun :
L'AlphaOne, l'équilibre de la nature.




Les aliments riches en magnésium 

Le magnésium est un oligo-élément présent dans beaucoup d’aliments. Toutefois, encore trop de personnes n'en consomment pas assez par rapport aux quantités recommandées par les professionnels de la santé.

Essentiel aux apports nutritionnels basiques, le magnésium joue également un rôle direct dans l’assimilation du calcium et de la vitamine C. Connu pour ses propriétés anti-stress, ce minéral est aussi important pour réguler la transmission de l'influx nerveux, d'où les bienfaits qu'on lui associe sur la concentration et la mémoire.

Le corps ne possédant pas de réserves de magnésium, il convient de lui en apporter quotidiennement. Des carences peuvent notamment entraîner une fatigue chronique et une sensation de stress. Il est donc important de connaître ses besoins afin de mieux les couvrir.

Pour consommer un maximum de magnésium, voici deux petites astuces : cuire les légumes à la vapeur au lieu de les faire bouillir et préférer les aliments complets aux aliments transformés. Et pour bénéficier d’un apport optimal quotidien, consultez notre liste d'aliments riches en magnésium !
Doctissimo

Les 15 principaux aliments riches en magnésium :


  1. Les amandes
    100 g d’amandes contiennent en moyenne 232 mg de magnésium.
  2. Les cacahuètes
    100 g de cacahuètes grillées et salées contiennent en moyenne 168 mg de magnésium.
  3. Les escargots
    100 g d’escargots contiennent en moyenne 250 mg de magnésium.
  4. Le riz complet
    100 g de riz complet contiennent près de 50 mg de magnésium.
  5. Les pois chiches
    100 g de pois chiches cuits contiennent près de 30 mg de magnésium.
  6. La banane
    100 g de banane contiennent plus de 33 mg de magnésium.
  7. Les haricots blancs
    100 g de haricots blancs cuits contiennent près de 60 mg de magnésium.
  8. Les petits pois
    100 g de petits pois frais cuits contiennent près de 30 mg de magnésium.
  9. Les noisettes
    100 g de noisettes contiennent près de 90 mg de magnésium.
  10. Les pistaches
    100 g de pistaches grillées et salées contiennent en moyenne 105 mg de magnésium.
  11. Les noix
    100 g de cerneaux de noix contiennent en moyenne 126 mg de magnésium.
  12. La semoule de maïs
    100 g de semoule de maïs contiennent en moyenne 35 mg de magnésium.
  13. Le chocolat noir
    100 g de chocolat noir contiennent en moyenne 206 mg de magnésium.
  14. Le pain complet
    100 g de pain complet contiennent en moyenne 108 mg de magnésium.
  15. Les lentilles
    100 g de lentilles cuites contiennent plus de 35 mg de magnésium.


Source : Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation (Anses)



En savoir plus sur les compléments alimentaires




mardi 24 mars 2015

Echange standard : Une affaire d'hommes

Incroyable !


Un homme inquiet de ce qu’il voit via Shutterstock
Un homme aurait bénéficié d'une greffe d'un nouveau pénis.
Un don d'organe à sensations !
 
Des chirurgiens ont réussi à transplanter un pénis avec des résultats sur le long terme prometteurs. En effet, l’homme qui a reçu cette greffe avait dû être amputé du sexe après des complications liées à une circoncision rituelle mal réalisée. Grâce à cette opération, il a aujourd’hui retrouvé la totalité des fonctions de ce nouvel organe, tant sur le plan urinaire que reproductif. 





Explications par SooCurious.

Un jeune homme a reçu une greffe d’organe un peu particulière puisqu’il s’agissait du pénis d’un donneur décédé. L’opération a eu lieu à l’hôpital Tygerberg à Cape Town, en Afrique du Sud. Cette transplantation a été une véritable renaissance pour l’homme de 21 ans. Celui-ci avait été la malheureuse victime d’une circoncision rituelle qui l’avait laissé mutilé alors qu’il avait à peine 18 ans. Ces complications ont alors entraîné l’amputation du membre. 
En Afrique du Sud, nombreux sont les hommes qui « perdent leur pénis chaque année en raison de complications dues à la circoncision traditionnelle » explique le chef d’équipe, Andre van der Merwe. Dans cette région du monde, la circoncision est un véritable rite initiatique, très pratiqué et qui pourtant est très dangereux, puisque ceux qui la pratiquent ne savent souvent pas comment s’y prendre. Selon certaines estimations, il y aurait près de 250 amputations du pénis qui seraient pratiquées, à travers le pays, chaque année.
Cette opération fait partie d’une étude pilote d’envergure menée par des chercheurs de l’université de Stellenbosch en Afrique du Sud. Cette procédure a été élaborée de façon réaliste et dans le but de répondre à des problèmes ciblés de la région. En effet, les médecins se sont largement inspirés des techniques précédemment mises au point lors de la greffe du visage, ils ont aussi pratiqué la chirurgie microscopique pour connecter les minuscules vaisseaux sanguins (de seulement 1,5 millimètre de large) et les nerfs. Une opération minutieuse qui demande dextérité, concentration et maîtrise mais pas seulement… En effet après avoir élaboré et parfait leur technique, les médecins ont dû se confronter à un problème de taille : l’organe manquant. 
Les médecins ont eu beaucoup de mal à trouver un tel organe. Et pourtant, après trois ans d’attente, le membre d’un donneur décédé a enfin été attribué au patient. Aujourd’hui le médecin Van der Merwe explique : « Les héros de tout cela [pour lui] sont le donneur et sa famille. Ils ont sauvé la vie de beaucoup de gens parce qu’ils ont fait don du cœur, des poumons, des reins, du foie, de la peau, des cornées et de ce pénis. » La transplantation a alors pu commencer. Ainsi le 11 décembre 2014, le jeune homme s’est installé sur la table d’opération pour recevoir un nouveau pénis. La procédure a duré près de 9h pendant lesquelles les médecins ont fait un travail remarquable. Une fois sorti de chirurgie, une seule question s’est véritablement posée, le corps va-t-il accepter ce nouveau membre ? Pour les médecins, l’ »objectif était qu’il serait pleinement fonctionnel d’ici deux ans ». Pourtant, seulement 3 mois plus tard, le jeune homme a déjà retrouvé l’usage de son membre, il est pleinement opérationnel tant dans les fonctions urinaires que reproductives. L’équipe se dit d’ailleurs « très surprise par son rétablissement rapide ». Cependant, pour l’instant, toutes les sensations autour de cette zone ne sont pas revenues, cela pourrait prendre un peu de temps.  
Le patient est donc aujourd’hui capable d’uriner normalement mais aussi de se reproduire. Il pourra donc retrouver une activité sexuelle avec sa partenaire et avoir des enfants s’il le souhaite. Aujourd’hui, il peut retrouver une vie quasiment normale grâce à cette intervention. »C’est une percée massive. Nous avons prouvé que cela peut être fait », se réjouit le professeur Frank Graewe, chef de la Division de chirurgie plastique reconstructive. Il envisage même d’étendre cette procédure, si toutefois elle s’avère réellement réussie, aux hommes ayant perdu leur pénis à cause d’un cancer ou à ceux qui souffrent d’un dysfonctionnement érectile sévère à cause de certains médicaments. Dans le cadre de l’étude, 9 autres patients devraient eux aussi être greffés.  
Ne crions pas victoire trop vite ! Même si cette opération est une réussite, celle-ci n’est pas totale. En effet, en 2006, une opération similaire avait été pratiquée sur un patient chinois. Il s’agissait de la première greffe du pénis. Pourtant, quelque temps plus tard, les médecins avaient été contraints d’amputer de nouveau le patient. Cette intervention avait sans conteste été une réussite chirurgicale mais le patient ne pouvait vivre avec l’organe d’un autre. Un rejet psychologique compréhensible et qu’il faut prendre en considération pour le cas de cette récente transplantation. On devra donc attendre un certain temps avant de savoir si oui ou non le patient se fait à son nouveau pénis. 
Cette première greffe réussie du pénis est prometteuse pour des centaines d’hommes qui en ont besoin.

Si votre vie en dépendait, pourriez-vous vivre avec l’organe d’un inconnu ?




lundi 23 mars 2015

Fibromyalgique : Comment je me soigne !


Je suis fibromyalgique depuis plus de 10 ans. 

Les antidouleurs et antidépresseurs m'ont été prescrits afin de mieux supporter les douleurs à répétition tout en me répétant qu'il n'existe aucun traitement efficace pour en guérir.
Le problème, c'est que les médicaments ont des effets secondaires indésirables.

Et pourtant !!!

Une amie qui souffrait de Spondylarthrite ankylosante, m'a confiée en mai 2014 avoir repris ses activités habituelles dont le jardinage qui lui manquait cruellement. Les douleurs ont disparues en même temps que le processus de régénération des tissus osseux. 
Comme elle savait que je souffrais de fibromyalgie et sans savoir si ça pouvait être efficace sur moi, elle m'a parlé du traitement qui l'a sauvé. Contre toute attente, elle m'a dit qu'il ne s'agissait pas d'un médicament, mais d'un complément alimentaire.

Je suis resté septique.


Comment une nourriture aussi bonne soit-elle, 
pouvait soigner des maladies aussi lourdes ?


Elle m'en a expliqué les grandes lignes sur le fonctionnement, et j'ai accepté de faire un essai.

Je n'ai pris qu'une posologie minimum pour voir s'il y avait des effets.
Au bout d'une semaine, j'ai constaté des changements dans la possibilité de me mouvoir mais mes douleurs étaient encore bien présentes. Environ un mois après, j'ai constaté une perte de poids et plus de facilité à marcher. J'en ai profité pour faire des ballades journalières, recommandées pour ce genre de pathologie.
Dans les mois qui ont suivit, j'ai ressenti des améliorations pour les gestes quotidiens comme se baisser, mettre ses chaussures, ou déplacer une chaise. Je le faisais presque naturellement et c'est après coup, que je m’apercevais que je l’avais fait sans douleur.

Ce traitement avait agit, c’est certain, mais je ne savais pas sur quoi. J’ai donc voulu en savoir plus et sur les conseils de mon amie, j’ai assisté à une conférence à Lille, du Dr Jacques Prunier, biologiste français à l’origine des recherches qui ont aboutis sur les produits actuels. Cette conférence met en évidence le fonctionnement du corps humain et le processus naturel d’auto régénération par les cellules souches.

Je sais maintenant pourquoi, mon traitement (minima) a commencé à fonctionner sur moi. 
C’est évident !  

Notre corps a le pouvoir de s’auto régénérer et d’éliminer les éléments infectés. Il puise son énergie dans la nourriture que nous consommons. Seulement, à notre époque, nos aliments sont de plus en plus pauvre en vitamines et substances indispensables au bon fonctionnement de notre corps. Le traitement de base mis au point par le Dr Jacques Prunier utilise les propriétés d’une algue qui contient tous les éléments à l’origine de la vie sur terre. A elle seule, elle renferme plus de 115 micronutriments. C’est énorme en comparaison avec nos fruits habituels !


Une équipe de chercheurs français ont mis au point des formules, toutes brevetées, a base de cette algue et d’autres produits naturels. Ainsi, en consommant ce complément alimentaire, on multiplie de 80% la prolifération des cellules souches adultes dans notre corps. Ces cellules sont donc en quantité suffisante, chaque jour, pour réparer toutes parties du corps lésées ou malades.
Comme on le sait, nos cellules souches sont capables de recréer tous nos organes, neurones, ou tous tissus cellulaires, on imagine facilement qu’il ne peut y avoir de limite à la régénération du corps humain qui inclut le ralentissement du vieillissement.  

Ces compléments alimentaires ne soignent pas directement.
Ce ne sont pas des médicaments.
Ils ne sont pas faits pour cibler une pathologie en particulier. 


Ils apportent à notre organisme les éléments qu’il a besoin pour s’auto régénérer comme il est sensé le faire seul. Malgré les coûts encore assez élevés, le dernier produit sorti, beaucoup plus efficace permet d’être optimiste pour les patients de maladies lourdes.



Après avoir été formé par la société, je suis devenu mandataire. Je peux donc répondre à toutes questions.

Compléments Alimentaire :



dimanche 22 mars 2015

Le Printemps est là !!


Préparez vous pour les beaux jours !



C’est le moment de réveiller en douceur votre corps qui s’est mis en veille pendant l’hiver.



Profitons-en pour se remettre en forme !
D'après un rapport de l’Institut de Veille Sanitaire effectué au printemps 2012, 80% des Français de plus de 50 ans ont un déficit d'apport en Vitamine D.

Elle est principalement produite de manière endogène sous l’action des rayonnements ultraviolets du soleil sur la peau.


La vitamine D joue un rôle majeur dans la minéralisation osseuse, redonne du tonus musculaire et renforce notre système immunitaire.

Le plein de Vitamines :

Le soleil est notre principale source de vitamine D, mais lorsque celui-ci fait défaut il est possible de complémenter notre alimentation avec le Synervit D3 et l’AlphaOne, 
l'Aphanizomenon flos-aquae est également source de vitamines, apporte une augmentation d’énergie et renforce votre bien être.


Vitaminez-vous
afin d’attaquer cette nouvelle saison
dans une forme optimale !!


Les compléments alimentaire que vous aurez besoin :

SynerVit D3, de la vitamine D pour de bon os.
Le squelette humain est une véritable charpente pour notre organisme. A la base de la conformation de notre corps, il constitue également les points d'ancrage de nos muscles, nous permettant ainsi d'effectuer tous les gestes de la vie quotidienne.

AlphaOne, l'équilibre de la nature.
Notre mode de vie actuel est parfois empreint de tension...auxquelles il n'est pas toujours facile de faire face. Or " garder moral "constitue un facteur indiscutable de bien-être.
AlphaOne contient de l'Aphanizomenon flos-aquae qui contribue à une humeur positive. L'Aphanizomenon flos-aquae est également source de vitamine B12 qui contribue à des fonctions psychologiques normales.

Compléments Alimentaire :
Informations / Commande




jeudi 19 mars 2015

La Migraine


Savons nous ce qu'est au juste la migraine ?


Faut-il vivre avec la migraine ?


Evidemment Non !
La migraine se soigne. De nombreuses idées reçues courent encore à son sujet : beaucoup de migraineux croient leur mère qui a eu des migraines toute sa vie et qui leur a dit que personne n'a rien pu faire pour elle ! Peut être est-ce pour cette raison que 40 % des malades pensent que la migraine est une fatalité et qu'il n'y a pas de solution à leur problème . Ils ont tort comme la moitié des migraineux qui ne vont pas voir leur médecin et continuent de souffrir dans leur coin. Pourtant des traitements existent. Aujourd’hui la migraine n’est plus une fatalité, réagissez !


Migraine et maux de tête, c’est la même chose !

Les maux de tête : vous connaissez ! Mais ne seriez-vous pas un migraineux qui s’ignore ? Si les douleurs que vous attribuez au stress, à la fatigue… et que vous balayez à grand renfort d’automédication resurgissent plus ou moins régulièrement, peut-être souffrez-vous de migraine. Ces deux affections ne sont pas identiques. 
La migraine se distingue par la présence des signes suivants :Crises douloureuses de 4 à 72 heures ;La douleur est pulsatile, elle « bat » de façon régulière au rythme du cœur, et prédomine généralement d’un seul coté du crâne ; La lumière et le bruit accentuent la douleur, parfois accompagnée de nausées.Si vous vous reconnaissez dans ces symptômes, consultez votre médecin afin de lui décrire précisément les circonstances d’apparition de vos crises. Il pourra éventuellement vous proposer un traitement adapté.

Le diagnostic de la migraine peut se faire grâce à une simple consultation

Pour en faire le diagnostic, il suffit au médecin d'analyser soigneusement les caractéristiques des crises, grâce à un interrogatoire approfondi. Généralement, aucune exploration compliquée n'est nécessaire.En revanche, un examen clinique est indispensable pour rechercher des anomalies qui pourraient orienter vers un autre diagnostic . Tout signe neurologique anormal doit conduire à un bilan.


La migraine frappe trois fois plus les femmes que les hommes

Oui ! Parmi les 6 à 7 millions de migraineux, tous ne sont pas égaux. La douleur, la fréquence des crises ainsi que le traitement sont propres à chaque malade. Mais il est une autre inégalité indéniable : on compte parmi les victimes trois fois plus de femmes. Les hormones féminines jouent un rôle essentiel : les crises s'aggravent en effet volontiers pendant la période des règles alors qu'elles s'espacent, dans les deux tiers des cas environ, pendant la grossesse et s'estompent, dans la moitié des cas, après la ménopause.

Les enfants très jeunes peuvent souffrir de migraines

Oui ! Il faut croire un enfant qui dit avoir mal à la tête, car, en général, ce n'est pas du cinéma . 5 % des enfants ont des migraines ; dans chaque classe, de la maternelle au lycée, il y a au moins un enfant qui souffre de migraine . La migraine peut commencer très tôt dans la vie, dès l'âge d’un an.









La vraie migraine est toujours précédée de signes annonciateurs

C'est vrai ! Dans environ 20 % des cas, la crise est précédée de symptômes annonciateurs caractéristiques. Il s'agit le plus souvent de signes visuels, tels que des stries lumineuses, des scintillements, des « trous » dans le champ visuel, mais cela peut être aussi des picotements ou fourmillements (paresthésie) souvent autour de la bouche, des difficultés d'élocution ou plus rarement des paralysies . Ces signes disparaissent complètement en moins d'une heure, pour céder la place aux maux de tête.

Le stress peut provoquer des migraines

Eh oui ! Pour de nombreuses personnes, le stress est à l’origine de maux de tête. Il s’agit le plus souvent de céphalées de tension, parfois chroniques, en casque. Parfois s’y ajoutent des sensations de fourmillement ou de tiraillement dans le cuir chevelu. Contrairement à ce que l’on observe souvent dans les migraines, il n’y a pas de troubles visuels, ni de nausées.

En fait, ces céphalées sont d’intensité modérée et se répètent pendant de longues années sans qu’aucun traitement ne soit mis en oeuvre. Mais chez certains, elles peuvent prendre des proportions réellement handicapantes. Leur origine est probablement psychosomatique, bien que leur mécanisme soit peu clair.
Deux types de traitements s’offrent à elles : apprendre à gérer leur stress ou encore prendre des antidépresseurs (attention à l'emploi de ce dernier !).

Le chocolat et le café peuvent provoquer des migraines


Malheureusement, oui !  De nombreux facteurs peuvent déclencher les migraines, parmi lesquels des facteurs alimentaires. Ils compteraient pour un quart des migraineux. Le chocolat et les boissons alcoolisées sont des déclencheurs parfaitement repérés des migraineux. 
Autres situations favorables : sauter un repas, en particulier le petit déjeuner, diminuer sa consommation de café à l'occasion du week-end, pour les grands buveurs.

Les migraineux tolèrent en général mal le tabac, mais celui-ci n'est pas un générateur de crise. Quant aux odeurs, lumières et autres stimulis, difficile de savoir la part qui leur revient dans la genèse d'une crise. On est sûr en revanche que les migraineux en crise ne les supportent pas.


Une automédication inappropriée peut aggraver la migraine

Absolument ! Pris suffisamment tôt et associés à des mesures simples, comme le repos à l’abri de la lumière et du bruit, des antalgiques peuvent suffire à enrayer la crise, mais ils sont souvent peu actifs dans les migraines plus sévères. Enfin, le danger d’un sur-traitement plus nocif qu’efficace n’est pas une légende. Certains patients prennent un, deux, trois comprimés par jour et puis cèdent à des doses incroyables allant jusqu’à la douzaine de comprimés par jour. Attention, outre l’inefficacité sur le long terme, il y a des risques d’accoutumance. Mais le plus grand risque se nomme la céphalée chronique quotidienne engendrée par la prise répétée et mal adaptée d’antalgiques. Ce stade ultime de la céphalée très handicapant atteint la qualité de vie dans son ensemble.

Les rapports sexuels peuvent déclencher des migraines


Dommage, mais oui !  « Pas ce soir, j’ai la migraine » les maux de tête sont souvent évoqués comme excuse pour éviter des ébats amoureux. Mais parfois, ils interviennent pendant les rapports sexuels. Plus fréquente chez les hommes, ou du moins plus souvent avouée par les premiers, la céphalée liée au coït se présente sous plusieurs formes :


- Soit elle s'installe progressivement pendant la phase d'excitation ;
 
- Soit elle est brutale et explosive au moment de l'orgasme ; 
- Soit encore elle survient après le coït.

Ce problème affecterait un peu plus de 1 % de la population au moins une fois, mais certains en souffrent régulièrement. Aucune lésion cérébrale ou autre maladie ne serait à l’origine de ce problème, il s'agirait plutôt d'une augmentation du flux sanguin et la dilatation des vaisseaux durant l’acte sexuel.


Merci à doctissimo.fr   


Courez contre les maladies mortelles


Courez avec l’UNICEF

Participez à la plus grande course connectée de tous les temps !



Chaussez vos baskets le 19 avril prochain

L’objectif, réunir un maximum de coureurs au profit du programme de vaccination de l’UNICEF lors de la première course connectée du monde ! Vous n’aurez plus besoin de courir de manière isolée et le bénéfice de vos efforts sera double puisqu’il s’agira de courir pour maintenir votre condition physique mais surtout pour contribuer à la campagne « Objectif 100%, Vaccinons chaque enfant ».
Pour participer à cet effort solidaire, il suffira de vous inscrire par équipes de 4 sur le site  www.unicefheroesday.com. Trois niveaux de dons sont proposés : 5 € (participation à la course), 15 € (la participation et une paire de lacets bleus UNICEF) et 35 € (la participation, une paire de lacets UNICEF et un T-shirt officiel de la course). De plus, 75 % des dépenses effectuées peuvent être déduites des impôts, une inscription à 35 € revenant donc à 9 €.
La course se déroule sur 10 km, mais pas d’inquiétude il n’y a aucun impératif en ce qui concerne un point de départ, un point d’arrivée, une heure de départ ou une heure d’arrivée. En effet, vous pourrez démarrer la course d’où bon vous semble, entre 0h01 et 23h59 le dimanche 19 avril, en vous connectant sur son application de running via votre smartphone ou sur une montre GPS, en France et partout dans le monde. Dès lors, vous allez pouvoir défier tous les « runners » de la planète en réalisant une bonne action par la même occasion. Bien sûr, même si la paresse vous gagne, il vous est possible de sponsoriser vos proches ayant décidé de courir en apportant des dons au profit de l’UNICEF, ce qui vous permettra également de suivre en direct leurs performances.
Des champions pour vous aider
Pour l’occasion, quatre grands champions français de la Team UNICEF pourront vous aider à vous entraîner et à maintenir votre motivation au plus haut. Ainsi, la championne de tennis Alizé Cornet, le champion olympique de biathlon Martin Fourcade, le champion olympique de saut à la perche Renaud Lavillenie participeront à cet évènement en proposant des défis sortis de leur propre imagination. De son côté, le footballeur Rio Mavuba proposera sa playlist pour inciter l’ensemble des coureurs au dépassement de soi.
UNICEF Heroes Day établira en direct le classement des équipes tout au long de la journée tandis que des photos de la course seront diffusées aux quatre coins de la planète, depuis Instagram et via le hashtag #unicefheroesday.
A noter que Running Heroes, qui organise cet évènement en partenariat avec l’UNICEF, a été créé par Boris Pourreau et Jean-Charles Touzalin pour motiver les coureurs amateurs ou assidus à travers une nouvelle plateforme qui permet de recevoir des récompenses de la part de grandes marques qui leur proposent des offres exclusives. Plus le sportif court, plus il est récompensé par des réductions ou même la gratuité de ses achats dans certains magasins. Pour en bénéficier, il suffit de s’inscrire sur la plateforme Running Heroes puis d’indiquer quel bracelet ou quelle application utilise le coureur pour suivre ses performances.
Un constat inquiétant
Cette course n’est donc pas qu’une simple compétition. C’est une véritable occasion de se dépenser pour la bonne cause, un moyen de faire parler sa solidarité, en somme.
Aujourd’hui, 1 enfant sur 5 dans le monde n’est pas vacciné (22 millions d’enfants), causant la mort de 4 000 enfants chaque jour. Ce constat alarmant est encore plus désespérant en sachant qu’ils pourraient être sauvés grâce à de simples vaccins. Néanmoins, 100 millions d’enfants ont été vaccinés, permettant d’en sauver 2 à 3 millions. En 30 ans, le nombre de vaccinations est passé de 20 à 80 %. C’est pourquoi l’objectif de l’UNICEF est d’atteindre les 100 % pour mener notamment des campagnes de vaccination en Haïti, au Cameroun ou au Tchad   en vue d’éradiquer la polio d’ici à 2017.
Cette initiative est vraiment intéressante. Elle permet de rassembler la planète entière autour d’un évènement sportif et joyeux en utilisant la technologie moderne au profit de l’UNICEF. Cette course connectée, unique en son genre, s’avère être un moyen simple et efficace pour permettre à des millions d’enfants de bénéficier des vaccinations pour qu’à l’avenir l’objectif 100 % soit atteint. Alors, allez-vous courir pour la bonne cause le 19 avril ?
Publié par Soo Curious.

mardi 10 mars 2015

Sommeil réparateur pour les fibromyalgiques

Extrait de "la saga fibromyalgie 2" du Dr Jean-Francois MARC, rhumatologue. 


Année 2015 


Une étude pilote française ACTIPOL, multicentrique (Paris Ile-de-France, Bretagne, Loire) regroupant les docteurs JL Renevier, D Baron et JF Marc se base sur l’importance d’un sommeil réparateur pour améliorer la qualité de vie des patients fibromyalgiques. En effet dès 1975, le Prof H Moldofsky avait démontré (article, la saga Fibromyalgie 1) la capacité à déclencher un état douloureux diffus fibromyalgiforme par épreuve de privation du sommeil. Les dernières données EULAR 2014 confirment la pertinence à améliorer le sommeil des patientes fibromyalgiques et si possible de manière non médicamenteuse.


L’utilisation quotidienne pendant 3 mois, d’un champ magnétique corps entier (CMCE) à faible niveau d’énergie (2,5 Gauss soit 5 fois le champ magnétique terrestre) donc sans aucun risque, disposé sous le matelas de sa literie, permet de restaurer un sommeil qualitatif (scores de Spiegel et Vis Morgen) en imposant pendant le sommeil un axe nord/sud magnétique craniopédieux. Ce champ homogène et continu protège le patient des fluctuations du champ magnétique terrestre (en moyenne 0,5 Gauss) et des champs magnétiques parasites (TV, antennes relais wifi, lignes à haute tension...). L’amélioration rapide du sommeil génère secondairement une amélioration de l’état douloureux et de fatigue. (44) (45) (46) 

Moldofsky H. P. Musculoskeletal Symptoms and Non-Rem Sleep Disturbance in Patients with Fibrositis Syndrome and Healthy Subjects. 1975. Psychosomatic Medicine 371: 341-351. Moldofsky H. P. Induction of neurasthenic musculoskeletal pain syndrome by selective sleep stage deprivation. 1976. Psychosom. Med. 38: 35-44. 

Etude en cours.

Plusieurs études ont cherché à décrire chez les personnes diagnostiquées Fibromyalgie, le rôle des déterminants de santé (consommation de tabac, obésité, stress, statut social et économique, bien-être psychologique, etc.) ou des facteurs de l’environnement dans la survenue et le développement de ce syndrome, sans toutefois parvenir à établir de lien avec la survenue de ce syndrome. 

L’InVS (Institut de Veille Sanitaire), fait état d’études portant sur le thème « Fibromyalgie et intolérance environnementale » : Certaines études relient la fibromyalgie et le syndrome de fatigue chronique à l’intolérance idiopathique environnementale. Elle toucherait 46 à 67 % des patients atteints de fibromyalgie et 4 à 6 % de la population générale. 
Elle serait associée à des pollutions environnementales diverses même à très faibles doses qui sont normalement tolérées par la majorité de la population: exposition aux solvants, aux produits pétrochimiques, aux fumées et produits de combustion, aux sources d’agents infectieux, aux sources de plomb issu de carburant, aux pesticides (la France est le 3ème consommateur mondial de pesticides après les USA et l’Inde), aux radiations, aux agents de guerre chimiques (GWS, Golf War Syndrome ou sd de la guerre du Golfe), à la prise de pyridostigmine, au stress psychologique et physique...



Et les médicaments ? 
47 % des médicaments ne sont pas utilisés, 22 % retournent en pharmacie, 66 % vont aux ordures, 12 % dans les toilettes… 
Les médicaments sont rejetés via les urines et les excréments des personnes et des animaux. 
Ainsi dans l’eau: anticancéreux, ATB, antidépresseurs, anxiolytiques, pilules contraceptives… a priori non totalement filtrés par les stations d’épuration. On ne sait finalement pas s’il s’agit de facteurs de risque ou du résultat de la condition du patient, ce qui ouvre un questionnement complémentaire sur une éventuelle prévention de ce syndrome.

Au cours de la fibromyalgie (FM), les troubles cognitifs se reflètent dans les plaintes... on parle de « fibrofog », véritable brouillard cérébral perturbant la concentration et le calcul mental mais aussi la vigilance et l’attention intellectuelle. 
L’utilisation d’un simple auto-questionnaire pourrait permettre de détecter ces troubles cognitifs et éviterait dans la plupart des cas de recourir aux tests neuropsychologiques qui sont pour certains d’un intérêt controversé... (47) 

Tesio V. Are Fibromyalgia Patients Cognitively Impaired? Objective and Subjective Neuropsychological Evidence. Arthritis Care & Research, 2015; 67: 143-150. 

Parmi les outils modernes utiles au patient fibromyalgique, on peut retenir des nouvelles applications à orientation médicale, pour la plupart gratuites, pour téléphones mobiles nous faisant entrer de plain-pied dans la e-santé ou la m-santé, santé sur mobiles : tablettes et smartphones tels : 

- Son dossier santé, par exemple Bewell ou le dossier Santé d’Apple sur iPhone, Fibromapp ou Fibromyalgie Diary (ces deux dernières sont dédiées au syndrome de Fibromyalgie mais payantes)

- Fibromyalgie Magazine 

- Self management: Your life with fibromyalgia... 

- Enfin, une application originale très prometteuse qui plus est bilingue français/anglais Nettelo, (Telo signifie corps en russe) où tout un chacun peut créer son avatar 3D (et l’anonymiser) avec ses vraies mesures corporelles et pourquoi pas notifier les zones douloureuses selon les critères proposés en 2010 par l’ACR. (48) 




Les végétariens en cœur !

Il semblerait que les végétariens ont moins de risques d’avoir des maladies du coeur !


Des scientifiques auraient découvert, en étudiant les habitudes alimentaires et l’hygiène de vie de plus de 450 000 personnes sur près de 10 ans, que devenir végétarien ou diminuer sa consommation de viande pourrait permettre de réduire ses risques de développer des maladies cardiaques de près de 20 %.
Une étude qui prendrait également en compte des facteurs tels que l’âge, le fait que les personnes fument ou non, ou encore l’obésité.


Cette nouvelle intervient peu de temps après que l'on ait annoncé au travers les médiats : 
 "UNE POMME D'AUJOURD’HUI, C’EST 100 FOIS MOINS DE VITAMINE C QU’EN 1950 !"

On serait en droit de se poser la question à savoir quelle quantité de fruits et de légumes ont consommer les végétariens étudiés pour atteindre cet objectif !


Bien qu'un complément alimentaire nous apporte les principales vitamines et plus de 115 micronutriments, sommes nous condamnés à devoir se nourrir un jour, qu'avec des gélules ?Peut-on retrouver la qualité nutritionnelle de 1950 ?

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lundi 9 mars 2015

La médecine Nutritionnelle

L'importance des compléments alimentaires
mise en évidence par le
*Dr RAY D. STRAND
(Spécialiste en Médecine Nutritionnelle et auteur de plusieurs ouvrages) 

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Ray D. Strand, M.D. - Spécialiste en Médecine Nutritionnelle

La plupart des gens ne comprennent pas vraiment le concept de médecine nutritionnelle et moins de personnes encore celui de la nutrition cellulaire. L’article qui suit vous aidera à comprendre comment j’aborde mes patients à titre de spécialiste en médecine nutritionnelle. J’espère que la lecture de mon article vous vaudra de mieux comprendre comment vous pouvez mieux protéger votre santé ou la recouvrer, et pourquoi vous pouvez le faire en mettant en pratique dans votre vie les concepts présentés.

Le concept du stress oxydatif
Tout est question d’équilibre
L’historique de la médecine nutritionnelle
La recherche moderne en nutrition 
Le concept de la nutrition cellulaire

La nutrition cellulaire, c’est l’apport aux cellules de TOUS les micro-nutriments à des doses plus élevées ou optimales, c’est à dire en quantités bénéfiques pour la santé, selon ce qu’en dit la littérature médicale. Autrement dit, votre supplémentation alimentaire devrait être équilibrée et complète, comme l’est un régime alimentaire sain. Il existe cependant une différence : les suppléments alimentaires peuvent fournir tous les nutriments nécessaires à la cellule en dose optimale, ce que nos aliments ne peuvent pas faire. 

À cause de modes de vie caractérisés par le stress, de la pollution environnementale et de la surmédication, tout régime alimentaire sain doit être accompagné de suppléments.
Selon la littérature médicale, la nutrition cellulaire fortifie les systèmes immunitaire et antioxydant naturels du corps, de même que son système de réparation. Non seulement vous palliez à toute carence nutritionnelle en moins de six mois de supplémentation, mais vous optimisez tous les micro-nutriments de votre organisme. Vous vous accordez ainsi la meilleure des chances d’inverser ou de prévenir tout stress oxydatif et de protéger votre santé. Voyez-vous, la supplémentation alimentaire, c’est vraiment une question de santé et non de maladie. Pour l’organisme, les suppléments alimentaires sont des composantes naturelles et le corps en a besoin pour fonctionner à un niveau optimal.
Tout homme, femme et enfant a besoin d’ajouter des suppléments alimentaires à un régime alimentaire sain et de suivre un programme d’exercice modeste. Ces éléments sont essentiels à la protection et au maintien d’une bonne santé. Cependant, que faire si vous n’êtes plus en bonne santé et si vous souffrez d’une des nombreuses maladies dégénératives chroniques ? La supplémentation est-elle porteuse d’espoir ? C’est la question que j’ai dû me poser et à laquelle j’ai dû répondre, tant pour moi que pour mes patients. C’est le centre d’intérêt principal, la raison d’être de ma pratique médicale depuis plus de 11 ans maintenant, et c’est aussi pourquoi j’ai mis sur pied ma pratique médicale en ligne www.raystrand.com.
Le concept de la synergie

Bien que l’oxygène soit nécessaire à la vie, il est essentiellement dangereux. En effet, alors que d’une part l’oxygène intervient dans la production d’énergie au niveau de la cellule, d’autre part, du même processus résulte la création de sous-produits appelés les radicaux libres. Il s’agit de molécules d’oxygène chargées qui, en manque d’au moins un électron, sont désireuses d’en trouver un (ou plusieurs) dans leur environnement immédiat. Si ces radicaux libres ne sont pas neutralisés par un anti-oxydant, substance apte à leur offrir les électrons manquants, ils sont susceptibles de créer davantage de radicaux libres volatiles, d’endommager la paroi cellulaire, la paroi vasculaire, les protéines, les lipides et même l’ADN. Par conséquent, le même procédé qui accorde une couleur brunâtre à une pomme coupée ou qui rouille le métal est responsable du fait que vous « rouillez » de l’intérieur. En fait, la littérature médicale révèle que plus de 70 maladies dégénératives chroniques ont pour cause ce processus d’oxydation. Des maladies comme la coronaropathie, le cancer, le diabète, la maladie de Parkinson, l’arthrite, la dégénérescence maculaire, la sclérose en plaques et le lupus sont le résultat de légers changements oxydatifs étalés sur une longue période de temps.

La quantité de radicaux libres que produit votre corps fluctue. En d’autres mots, certains jours vous en produisez davantage. Victime de modes de vie caractérisés par le stress, la pollution environnementale et la surmédicalisation, la génération actuelle souffre d’une production de radicaux libres plus abondante que toutes les générations qui l’ont précédée. Vous désirez prévenir le stress oxydatif ? La quantité d’antioxydants que vous consommez, accompagnés de leurs nutriments de soutien, devra surpasser celle des radicaux libres que produit votre corps. Nous ne sommes pas sans défense. La solution, c’est la consommation d’antioxydants. Il convient donc de se poser la question à savoir si nos aliments contiennent tous les antioxydants dont nous avons besoin. J’ai dû me poser cette question et c’est cette interrogation qui a mené à la rédaction de Ce que votre médecin ignore de la médecine nutritionnelle. Après plus de deux années consacrées à la révision de la littérature médicale, j’ai conclu que la seule chance que nous avons de prévenir le stress oxydatif est de consommer des suppléments alimentaires de haute qualité, complets et équilibrés, suppléments qui contribuent à ce que j’appelle la nutrition cellulaire. Si vous n’avez pas encore lu mon livre ou écouté l’un ou l’autre de mes CD sur le sujet, je vous encourage certainement à le faire. Bien appuyés de références médicales détaillées, mes livres présentent la preuve médicale qui exige que verdict soit rendu : Devriez-vous prendre des suppléments alimentaires ?

Au cours du dernier demi-siècle, on a pratiqué la médecine nutritionnelle en déterminant les nutriments spécifiques dont l’organisme était déficient et en palliant à ces déficiences. Mes recherches m’ont permis de conclure rapidement et clairement à l’évidence que le problème sous-jacent de la plupart d’entre nous n’est pas une insuffisance nutritionnelle mais le stress oxydatif. Il m’apparut aussi évident que la médication, qui accroît en fait la production de radicaux libres, ne mènerait jamais à la prévention de quelque maladie que ce soit. De plus, s’il en était ainsi, l’objectif devait être l’apport de nutriments nécessaires au renforcement du système de défense antioxydant naturel de notre corps, de façon à éviter le stress oxydatif. Il m’apparut tellement évident que nos corps, et non les médicaments que je pouvais prescrire, constituaient la meilleure défense contre toutes les maladies ci-haut mentionnées. Le problème N’EN EST PAS un d’insuffisance nutritionnelle mais plutôt de stress oxydatif.
La recherche moderne a pour objectif de trouver le « remède miracle » pour une maladie spécifique. Par exemple, plusieurs études ont révélé que les fumeurs dont le sang affichait des taux élevés d’antioxydants présentaient un risque beaucoup moins élevé de développer un cancer du poumon, comparativement aux fumeurs qui affichaient les taux les plus bas d’antioxydants. La plupart des chercheurs étaient d’avis que cet état de chose était attribuable à des taux élevés de bêta-carotène. Par conséquent, ils décidèrent de mener une étude dans le cadre de laquelle on donna à un grand nombre de fumeurs un supplément de bêta-carotène et rien d’autre. Ces mêmes chercheurs furent renversés lorsqu’ils observèrent que ce dernier groupe de fumeurs était davantage à risque de souffrir d’un cancer du poumon que le groupe témoin. Ceci mena les chercheurs et les gens des médias à affirmer que la bêta-carotène constituait un nutriment dangereux que les fumeurs devaient éviter de prendre comme supplément alimentaire. Quelques années plus tard, une évaluation des mêmes données révéla que les fumeurs qui affichaient les niveaux les plus élevés d’antioxydants complets risquaient beaucoup moins de souffrir d’un cancer du poumon, comparativement à ceux dont les niveaux étaient les plus bas.
La bêta-carotène N’EST PAS un médicament mais plutôt un nutriment que nous obtenons des aliments. Toutefois, aujourd’hui, la supplémentation alimentaire nous permet d’en consommer au-delà des quantités qu’on peut trouver dans notre alimentation. L’action de la bêta-carotène est restreint à certaines parties du corps et n’est efficace que contre certains types de radicaux libres. Par conséquent, la bêta-carotène requiert l’aide d’autres antioxydants, ainsi que de minéraux et de cofacteurs B aux propriétés antioxydantes, pour effectuer un travail efficace. Mais que font les chercheurs ? Ils s’évertuent à trouver la « solution magique », au lieu de prendre du recul et d’essayer de comprendre les concepts et principes élémentaires de la nutrition cellulaire. Malgré tout, un grand nombre d’études où on limite la recherche aux effets d’un ou de deux nutriments révèlent des bienfaits quelconque pour la santé. C’est incroyable ! Quels seraient les bienfaits d’une combinaison de tous les nutriments pris en dose optimale ? Bienvenue au concept de la nutrition cellulaire.

À ce jour, plus de 180 études épidémiologiques ont été menées, études faites sur un grand nombre de sujets; elles sont toutes parvenues à la même conclusion. Lorsqu’on compare les personnes dont le sang affiche les taux les plus élevés d’antioxydants complets aux autres gens aux taux les plus faibles, les premiers courent deux à trois fois moins de risque de souffrir du cancer, de maladies du cœur, du diabète et même de la maladie d’Alzheimer. De toute évidence, les gens qui consomment davantage de fruits et de légumes frais, aliments qui contiennent de fortes quantités d’antioxydants, sont les sujets qui affichaient les taux sanguins les plus élevés d’antioxydants. C’est tout à fait logique lorsqu’on comprend que le concept du stress oxydatif constitue la cause principale de plus de 70 maladies dégénératives chroniques. Par conséquent, un médecin devrait conclure que le premier conseil d’importance à prodiguer à ses patients est de consommer quotidiennement au moins 8 à 12 portions de fruits et légumes frais, et le deuxième conseil serait de leur recommander des suppléments alimentaires de haute qualité, complets et équilibrés, pour nourrir leurs cellules.

À maintes reprises, la lecture de la littérature médicale m’a révélé que les patients déjà victimes d’une maladie dégénérative chronique comme la sclérose en plaques, l’arthrite rhumatoïde ou le diabète, souffraient d’un stress oxydatif beaucoup plus élevé que les patients normaux et en bonne santé. La nutrition cellulaire est normalement suffisante pour aider celui ou celle qui jouit d’une excellente santé. Toutefois, une telle supplémentation ne suffirait pas à maîtriser le stress oxydatif chez la personne déjà victime d’une maladie majeure.

Il m’apparut très évident, et assez rapidement, que pour espérer avoir un effet bénéfique sur la santé d’un patient qui souffre d’un cancer, d’une maladie du cœur, de dégénérescence maculaire, du diabète et autres maladies du même ordre, il s’avérait nécessaire de véritablement optimiser les systèmes de défense naturels du corps sous tous leurs aspects. J’ai réalisé rapidement qu’en soumettant tous mes patients à une nutrition cellulaire de base, j’étais capable de créer un effet synergique. La vitamine E constitue un excellent antioxydant au niveau de la membrane cellulaire, la vitamine C au niveau du plasma et le glutathion au niveau intracellulaire. Cependant, tous ces antioxydants ont besoin des minéraux antioxydants et des cofacteurs B pour bien faire leur travail. De plus, l’action de la vitamine C rend la vitamine E ré-utilisable encore et encore. Et comment oublier l’acide alpha-lipoïque, autre excellent antioxydant capable de régénérer la vitamine E et le glutathion. J’ai découvert que 1 + 1 n’égalait plus 2, mais plutôt 8 ou 10. Cette approche puissante m’a octroyé une bien meilleure chance de reprendre la contrôle du stress oxydatif.

Dès lors que mes patients respectaient mes recommandations en matière de nutrition cellulaire, je commençai à ajouter des optimiseurs à leur régime de suppléments alimentaires. Je me suis mis à la recherche des antioxydants les plus puissants qui soient. À cet égard, j’ai découvert que l’extrait de pépins de raisin était 50 fois plus puissant que la vitamine E et 20 fois plus puissant que la vitamine C, dans le combat contre le stress oxydatif. Quant au CoQ10, il ne constituait pas seulement un important antioxydant, mais aussi un stimulateur majeur de notre système immunitaire naturel et une aide quant à un apport accru d’énergie cellulaire, permettant à la cellule de fonctionner de façon optimale. D’autres nutriments comme le sulfate de glucosamine, le chou palmiste nain, les phytonutriments, l’apport accru de vitamine E, le calcium et le magnésium produisaient des résultats extraordinaires dans le cas de maladies diverses.

Au cours des 12 dernières années, j’ai appris comment soutenir les systèmes de défense naturel de mes patients et leur conférer la meilleure chance de reprendre en mains leur santé. De nouveau, tout est question d’équilibre. Je désire voir mes patients qui souffrent déjà d’une maladie reprendre la maîtrise de leur stress oxydatif. C’est là mon but principal. Ce n’est qu’alors que mes patients peuvent jouir d’une chance de voir leur santé s’améliorer. En accompagnant la nutrition cellulaire d’optimiseurs spécifiques, je donne à tous mes patients la meilleure des chances d’amener le stress oxydatif sous contrôle. Les résultats que j’ai observés dans ma pratique médicale, en mettant en pratique ces principes, ne sont rien de moins que renversants, constat dont jamais je n’avais été témoin pendant mes 20 premières années, et plus, de pratique médicale.
Maintenant, laissez-moi vous faire part de quelques précautions apprises au cours des années. Premièrement, la médecine nutritionnelle diffère de la prise de médicaments. Un minimum de six mois est requis pour bâtir les systèmes de défense naturels du corps, et plusieurs de mes patients ont observé une amélioration de leur état de santé qu’après six mois. L’organisme de certains de mes patients ne réagit pas toujours à mes recommandations. Cependant, j’estime que la majorité d’entre eux ont bénéficié d’une amélioration significative de leur santé en respectant mes recommandations. Aucun de mes patients n’a été guéri de sa maladie sous-jacente. La supplémentation alimentaire n’est ni une alternative ni un substitut aux soins de santé médicaux traditionnels. Vous ne devriez jamais cesser de prendre les médicaments que vous a prescrits votre médecin sans le consentement et la supervision de ce dernier. Plusieurs de mes patients ont réussi à réduire leur dépendance aux médicaments et, dans certains cas, même cesser de les prendre. 

Cependant, cela est toujours à la suite d’une amélioration importante de leur état de santé et sous la supervision de leur médecin personnel.

J’ai pour mission de vie de communiquer ces concepts de bonne santé et d’aider le plus grand nombre de gens possible. C’est pour cette raison que j’ai mis sur pied ma pratique médicale en ligne à www.raystrand.com. Je vous encourage à en profiter et à partager avec d’autres les bénéfices potentiels pour la santé liés au respect de mes recommandations, soit pour protéger votre santé ou possiblement pour recouvrer la bonne santé que vous avez perdue.


*  À PROPOS DU DR STRAND

Dr Ray D. Strand, MD, est diplômé de l'Université de l'École de médecine du Colorado et a terminé sa formation post-universitaire au Mercy Hospital à San Diego, en Californie. Il a été impliqué dans un cabinet privé actif de famille pour les trente-cinq dernières années. Il a axé sa pratique sur la médecine nutritionnelle cours des 15 dernières années, tandis que des conférences à l'échelle internationale sur le sujet à travers les États-Unis, Canada, Australie, Nouvelle-Zélande, Singapour et la Malaisie.

















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